Savez-vous qu’il existe autant de fantasmes que d’êtres humains ? On connaît tous les fantasmes classiques (et beaucoup d’entre nous les ont d’ailleurs expérimentés…). Quelques exemples ? Se déguiser en infirmière, attacher son partenaire ou faire l’amour dans la nature. Ils ne sont en fait que le premier niveau de l’échelle (pour monter au 7ème ciel). On peut en effet collectionner les fantasmes, il porte chacun un nom particulier. Spécialement pour vous, voici le top 10 des fantasmes les plus zarbis. A vous de voir si l’expérience vous branche avec votre partenaire… ou non.
L’alliumphilie
Quelle est ici la cause de l’excitation suprême ? Surprise : une gousse d’ail. Autrement dit, la simple vue ou la pensée de l’ail provoque une montée de désir chez certains. Il va sans dire que vous n’avez plus à craindre pour votre haleine. Elle peut être chargée après un repas bien relevé, votre partenaire vous désirera d’autant plus.
L’aulophilie
Cette fois-ci, ce n’est pas un aliment qui se mange mais un instrument de musique qui fait monter la température. A savoir : la flûte sous toutes ses formes. La forme longiligne de l’objet que l’on met à sa bouche doit évoquer des idées très sexuelles pour certains (d’où acte).
L’autoscopophilie
Bravo si vous arrivez à prononcer ce fantasme en entier ! Ce mot alambiqué cache une montée du désir proche de l’onanisme : tout simplement être excité à la vue de son propre corps. Les narcissiques s’en donnent à cœur (et à corps) joie.
La climacophilie
Ce fantasme est particulièrement mignon : il est ressenti après avoir dévalé des escaliers. On associe souvent la montée des escaliers avec l’acte d’amour qui se prépare (= les préliminaires). Ici, c’est le contrepied : l’excitation vient de la descente. Comme quoi, il y en a pour tous les goûts.
L’ergophilie
Avis aux besogneux, ce fantasme va vous plaire ! Il est lié aux travaux, tâches et autres corvées à faire (faire les courses, envoyer sa feuille d’impôt, ne pas oublier de passer à la Poste, etc). C’est simple, pour certains, c’est le comble de la jouissance. La contrainte avec son aspect besogneux est susceptible de les faire monter aux rideaux. N’hésitez pas à établir des check lists avec eux.
La forniphilie
Vous l’avez sûrement déjà vu dans des films : des hommes s’attablent autour d’une femme nue en guise de table pour déjeuner. Voilà une illustration typique de la forniphilie. Il s’agit du plaisir retiré à transformer l’autre en objet mobilier : lampe, chaise, table basse, etc.
L’hypnophilie
L’hypnophilie est le fantasme des bonnets de nuit. Il est lié à l’envie (irrépressible) de dormir. S’il est combiné avec le fantasme précédent, nul doute que la personne aimera prendre son partenaire pour un lit.
La laliophilie
Les laliophiles sont peut-être les seul(e)s à ne pas bailler aux corneilles lors des discours publics. Mieux (pire ?), ça les excite. Il va falloir remettre votre costume et réviser votre rhétorique.
La sidérodromophilie
Il s’agit du fantasme de faire l’amour dans le train. Autres variantes possibles : dans l’avion (éventuellement avec l’hôtesse de l’air) ou en croisière. Un fantasme qui se pratique entre grands voyageurs (et qui peut remporter des miles).
La soceraphilie
Fantasme quelque peu délicat, la soceraphilie consiste à être attiré par ses beaux-parents. L’exécution peut être périlleuse. A consommer avec modération.
Crédit photo: film Bridget Jones