Il existe des personnes qui ne sont pas capables de se passer de relations extra-conjugales. Cela ne signifie bien sûr pas qu’ils ne sont pas à même de vivre une véritable histoire d’amour, mais simplement qu’ils ne conçoivent pas d’avoir un seul ou une seule partenaire dans leur vie. Leur objectif est souvent de séduire à tout prix, quel que soit leur statut personnel, et bien sûr, ce n’est pas le fait d’être marié qui les fera changer d’avis, bien au contraire : impossible de les tenir, ils ne peuvent s’empêcher d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte, et nous allons tenter d’en éclaircir les raisons.
Sachant qu’ils s’agit de séducteurs et de séductrices, on pourrait imaginer qu’ils pourraient s’en tenir simplement à la chasse : or, ils doivent aller jusqu’au bout de leur démarche, et vont bien sûr jusqu’à l’adultère. Mais ce ne sont pas pour autant des partenaires spécialement dangereux, car ils sont capables, paradoxalement parlant, d’avoir une grande fidélité intellectuelle et sentimentale envers leur partenaire de vie. Ils trompent, mènent une double vie, mais ce n’est pas pour autant qu’ils souhaitent changer de partenaire, bien au contraire : ils et elles savent qui est l’élu(e) de leur coeur.
Mais au fond, n’est-ce pas une grande angoisse de l’engagement, et de ne pas pouvoir se donner à 100% à quelqu’un ? C’est probablement le cas. Et c’est par ce manque de fidélité qu’ils expriment cette facette de leur personnalité. Il s’agit donc d’une caste d’infidèles bien particulière. Ils sont généralement assez doués pour la manipulation et les mensonges, ils dissimulent parfaitement bien leurs activités illicites, et parviennent ainsi à garder longtemps leur mari ou leur femme grâce à cette faculté à cacher. Cependant, ce type de trouble peut aisément être réglé pour ceux qui le souhaitent, en expiant leurs traumatismes et leurs peurs par le biais d’une psychothérapie par exemple.
Tromper : où cela commence-t-il ?
Le débat gronde toujours concernant les limites liées à l’adultère : quand commence la tromperie ? C’est une question que se posent de nombreux partenaires, qui dans le modèle occidental qui est pour la fidélité, doivent concevoir des limites dans leur comportement envers leurs congénères du sexe opposé alors qu’ils sont mariés ou en couple. On n’a pas tous les mêmes manières de voir les choses en la matière : certains y voient quelque chose de physique, d’autres en revanche considèrent qu’il s’agit déjà d’une simple intention. Comment trouver les limites alors ?
En effet, on peut considérer deux aspects différents dans le fait de tromper : un facteur intellectuel et un facteur physique. Et ce dernier est celui que l’on vise le premier généralement. Ainsi, il existe deux grandes tendances : tout d’abord, ceux qui pensent que tromper est simplement embrasser. Ce sont les plus sévères ! En d’autres termes, pourvu qu’il y ait un contact physique autre qu’amical, la tromperie est déjà engagée. D’autres en revanche ne sont pas assez tatillons sur le baiser, mais pensent que l’on trompe à partir du moment où l’on a réellement des relations sexuelles avec cet amant ou cette maîtresse.
Mais finalement, tromper, est-ce réellement un acte, ou une intention ? On peut ainsi considérer que le simple fait de souhaiter aller plus loin avec quelqu’un d’autre que sa femme ou son mari peut être considéré comme une tromperie, et ce n’est pas tout à fait faux : l’adultère naît déjà dans la tête avant qu’il ne se matérialise de façon plus concrète. Mais dans tous les cas, ce n’est qu’une question de point de vue et chacun est doté de ses propres limites et de sa tolérance en matière de relation extra conjugale. Ainsi, la limite n’est pas particulièrement effective, autrement qu’en vous-même.
Attention de ne pas vous faire attraper !
Il n’y a rien de pire qu’un adultère qui n’est pas réussi. Et le premier critère, c’est la discrétion ! Cela est essentiel puisque presque 80% des personnes interrogées dans le cadre des statistiques avouent que s’ils apprenaient un adultère, cela pourrait représenter la mort de leur relation. Il est donc indispensable de bien veiller à être discret pour que tout se passe bien. Pour cela, mettez-vous à la place de celui que l’on trompe : qu’iriez vous vérifier en premier si vous aviez quelques soupçons concernant sa fidélité ? C’est à cela que nous allons réfléchir ensemble, pour que tout se déroule sous les meilleurs hospices.
Et en matière d’adultère, les nouvelles technologies sont nos alliées comme nos ennemies. En effet, celles-ci nous permettent de faire facilement et rapidement de nouvelles rencontres, tout en nous mettant également à découvert parfois, et pouvant alors causer notre perte. Vérifiez tout : votre ordinateur et votre téléphone portable, en veillant à tous les aspects de la curiosité de votre conjoint. Il est donc essentiel d’ouvrir l’oeil, de ne louper aucun détail et d’être dans une veille permanente concernant ce que son conjoint serait susceptible de découvrir. Un vrai détective !
Nous vous conseillons également de faire attention à vos notes. En effet, les sorties que vous allez faire avec votre partenaire illégitime risquent de laisser des traces. Quelles que soient vos activités ou les lieux de vos retrouvailles, nous vous conseillons de ne rien payer avec une carte bancaire, qui pourrait être lisible sur vos relevés de compte. Prenez plutôt du cash avec vous. Bien sûr, attention aux parfums masculins/féminins qui pourraient être sentis par votre époux ou votre femme, ainsi que les cheveux, les objets qui trainent sans que l’on ne s’en rende compte…vous voyez, être infidèle, c’est du boulot !
40 ans, l’âge critique
Lorsque l’on arrive à quarante ans, on parle du midi de sa vie. En d’autres termes, on est à mi-chemin entre la naissance et la mort, et on a déjà beaucoup vécu. On est encore jeune, mais nos 20 ans commencent à dater un peu. On est séduisant, et on a du temps avant d’arriver à la soixantaine. C’est donc un âge vraiment charnière, qui évoque de nombreuses questions : ai-je fait des choix judicieux ? Ai-je eu raison de me marier aussi jeune ? Que se serait-il passé si j’avais décidé de vivre différemment, en célibataire, ou tout simplement avec quelqu’un d’autre ? On sait aujourd’hui que l’adultère survient souvent à cette période.
En effet, pour un quart des cas de relation extra-conjugale, il s’agit d’une remise en question totale de ce que l’on vit. Et ainsi, on peut avoir envie d’aller voir ailleurs si l’herbe est un peu plus verte. Cette crise de la quarantaine induit aussi le fait que l’on puisse souhaiter revivre sa jeunesse, en se laissant aller à quelques fantasmes et en changeant de partenaire sexuel(le) : certains époux n’en ont connu qu’un seul dans leur vie, celui ou celle avec qui ils partagent leur existence au quotidien. Peu d’expérience, cela peut conduire à vivre une crise de la quarantaine assez violente.
Ainsi, c’est souvent à cette période que l’on s’en remet à des sites de rencontre extra-conjugale, afin de trouver un amant ou une maîtresse. Mais il ne faut pas dramatiser pour autant. Il est parfois préférable de vivre à fond sa crise, afin de pouvoir se stabiliser à nouveau plus tard. Il ne faut pas avoir peur alors d’aller jusqu’au bout de ses envies, afin que cela ne constitue pas par la suite une source de frustration. 40 ans, c’est donc un âge critique quand on est en couple, et on peut être confronté à des tentations : y céder peut vous permettre d’y voir un peu plus clair dans votre existence.
Les femmes cougars infidèles
On a vu arriver aujourd’hui un tout nouveau type de femmes infidèles : celles qui cherchent des partenaires plus jeunes qu’elles pour prendre un peu de bon temps. Ce sont celles que l’on appelle les femmes cougars, plus communément. Le phénomène nous arrive tout droit des Etats-Unis, contrée première de ces mangeuses d’hommes de la vingtaine, âgées au moins de la quarantaine. Elles ont ensuite traversé l’Atlantique, pour rejoindre nos terres et devenir ici aussi un véritable phénomène de société : les femmes de 45 ans et les hommes de 20 ans ensemble, ce n’est désormais plus tabou.
Elles ont des profils assez variés : certaines d’entre elles sont célibataires ou divorcées et ont donc toute la liberté d’aller d’un homme à l’autre, comme elles le souhaitent. En revanche, d’autres sont encore en couple quand elles commencent à faire ces rencontres illégitimes. Ces femmes sont alors prise de ce que l’on appelle le démon de midi, autrement dit la crise de la quarantaine, qui sévit chez de très nombreuses femmes d’âge mûr. Elles regrettent parfois de ne pas avoir assez profité de leur jeunesse, et elles ne peuvent pas se résoudre à mener une vie de femme au foyer classique.
Fini dont d’être des mères, elles désirent être à nouveau des femmes, et quoi de mieux pour tester son pouvoir de séduction, que de le faire sur de jeunes mâles au physique avantageux ? Ces fantasmes sont désormais assez fréquents chez ces femmes, et ils sont tout à fait assumés. En effet, auparavant ces pratiques étaient trop inhabituelles et trop dissimulées pour être réellement assumées, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Ces femmes matures approuvent désormais leur propre sexualité et cette forme d’adultère qui consiste à entretenir des relations discrètes avec des hommes jeunes et beaux.
